Author: Raphaelle

La santé mentale, c’est important!

Alors que nous entrons dans la troisième année de la pandémie, il n’est pas surprenant d’apprendre qu’un tiers des Canadiens admettent avoir des problèmes de santé mentale. La fatigue, la frustration et l’anxiété sont les plus souvent signalées.

Il y a tellement de choses qui échappent à notre contrôle, notamment la durée de la pandémie, la possibilité qu’une autre variante impose un autre lockdown, et l’effet de la pandémie sur nos communautés.  

Il est très important d’être honnête sur ce que l’on ressent et de prendre non seulement toutes les précautions d’hygiène recommandées par le corps médical, mais aussi d’évaluer la gravité de nos symptômes et de demander une aide professionnelle si nécessaire.

Les athlètes parlent souvent de l’importance de l’exercice sur la santé mentale. Je crois fermement que le fait de bouger son corps aide à réaligner ses perspectives mentales. 

Il existe également des petits trucs qui, dans certains cas, peuvent aider à apporter une optique positive :

• Il est tellement important de rester en contact avec les amis et la famille, même s’il est recommandé de ne pas participer à des activités en grand groupe. 

• Sortir à l’extérieur lorsque le temps le permet est une bonne façon de changer d’objectif, même si c’est bref. 

• Finalement, je crois fermement que le fait d’aider les autres à se sentir mieux, en soutenant des projets communautaires ou même en faisant un don à une banque alimentaire, est bon pour l’âme. 

Si rien ne parvient à changer ton outlook et que tu continues à te sentir en difficulté, n’hésites pas à prendre rendez-vous avec ton médecin.  

#mentalhealth #positiveoutlook #wellness

TBMOQ-TeamBuilding

Je suis heureux d’annoncer que je me suis associé à TBMOQ Montréal. Depuis le début, leur objectif est d’offrir des programmes d’apprentissage expérientiel à leurs clients.

Nous partageons la conviction qu’il faut renforcer la cohésion des équipes tout en fournissant les outils nécessaires à leur bon fonctionnement, ce qui correspond bien à mon objectif de promouvoir la synergie, la communication et la confiance au sein de l’équipe… le tout avec une dose de fun !

Je suis prêt pour un partenariat productif et espère offrir un programme de développement de Team Building significatif avec la firme spécialisé en team building TBMOQ Montréal !

TBMOQ Montreal

www.tbmoq.ca

514-907-2823

Pour de plus amples renseignements et pour faire un booking :

Nadine C. Goodine

T: 778-788-9476

C : bruny.surin@olympian.org

Endurance. Force. « Grit ».

Tous ces mots décrivent la même chose : la résilience.

Pour moi, la résilience est la capacité d’une personne à prendre les éléments négatifs qui nous arrivent et à les transformer en un outil productif, un outil qui nous permet de progresser.

Avec le stress causé par les deux dernières années et plus de la pandémie, beaucoup d’entre nous ont l’impression que leur résilience diminue. Et c’est tout à fait possible, car j’ai observé qu’il est presque impossible de développer la résilience lorsqu’on est dans un état de stress. Je compare cela au fait de ne pas pouvoir jouer au tennis à son top niveau si l’on a une entorse.

Heureusement, il est possible de rétablir notre résilience, ce qui contribue à une meilleure santé mentale.

Je présente souvent de petits trucs qui peuvent être utilisés pour retrouver notre ténacité :

– Créer une routine quotidienne positive et motivante

– Bien manger et bien s’hydrater

– S’appuyer sur son réseau de soutien (amis et famille)

– Accepter que, parfois, de mauvaises choses arrivent et qu’il faut les accepter

– Et je ne saurais trop insister sur l’importance du sommeil, qui doit être régulier !

Sans ces mesures, notre tolérance au stress – notre capacité de surmonter et d’endurer tous ces challenges – s’affaiblit.

Je vous encourage à les adopter dans vos habitudes quotidiennes et vous verrez que, comme les athlètes qui surmontent les blessures, les pertes et les échecs, votre résilience se rétablira.

MON INJECTION ANNUELLE DE Synvisc™

Depuis 9 ans, je fais de l’arthrose, surtout au genou gauche, en raison de l’entraînement intense que j’ai fait pendant mes 18 ans de carrière en athlétisme. Et malgré cela, j’ai continué à m’entraîner, parfois intensément, en participant à des courses, en faisant des squats, en mettant beaucoup de pression sur les articulations de mon genou.

Heureusement, je l’ai détecté à temps grâce à mon médecin orthopédique, qui m’a recommandé le Synvisc™. Ce liquide agit comme un lubrifiant et remplace le liquide synovial dans le genou. J’aime dire que c’est comme faire un tune-up ! Chaque injection me dure un an, et je peux continuer à faire toutes mes activités.

A vrai dire, j’ai toujours un peu d’appréhension avant mon rendez-vous, car je déteste absolument les piqûres ! Lors du rendez-vous, au moment qu’il va me piquer, je demande au médecin de ne pas me parler, pour que je me concentre et que je prenne mon souffle. Après tout… il faut que je me prépare mentalement !

 Parfois, les gens peuvent avoir une petite réaction à la piqure, avec un petit gonflement autour de la zone d’injection. Lorsque je rentre chez moi, j’applique toujours une compresse glacée à titre préventif. 

 Je planifie ces rendez-vous lorsque je sais que je n’ai pas agenda chargé, parce qu’il est recommandé d’y aller doucement après l’injection, d’éviter les longues marche, courir ou faire des activités qui sollicitent  le genou. Quand je fais cela… tout se passe bien.

Perdre la médaille d’or ou gagner une médaille d’argent

Cette semaine, Mikaël Kingsbury, la star canadienne des bosses, a ramené une médaille d’argent aux Jeux olympiques. Il est clair qu’il visait la médaille d’or. Donc, je vous pose la question suivante : Kingsbury a-t-il perdu la médaille d’or ou a-t-il gagné la médaille d’argent ?

Tous les athlètes ont le talent et la capacité de se fixer des objectifs, de les atteindre et même de les dépasser. Ils travaillent fort et se privent d’une grande partie de ce que les gens ordinaires considèrent comme la « vie ». Tout cela pour ramener une médaille, de préférence l’or, afin de prouver à eux-mêmes, à leur famille, à leurs amis et au monde entier qu’ils sont les MEILLEURS dans leur sport.

Mais si, comme Mikaël Kingsbury, il n’y a pas de médaille d’or mais une médaille d’argent ou de bronze ? Ces athlètes dédiés, sont-ils des losers ? Devrait-on les considérer comme ayant perdu la médaille d’or ?

La réponse est un « non » franc et massif.

Connaissant la dédication intense qu’il a fallu à Kingsbury pour arriver là où il est, et être considéré une légende canadienne du mogul, je le félicite à 100% pour son courage, ses efforts et sa victoire.

Il n’a pas gagné une médaille d’or. So what ? Devons-nous considérer Kingsbury comme un loser ? Devrions-nous l’estimer moins pour ne pas avoir rapporté la médaille ultime ? A-t-il perdu la médaille d’or ?

Encore une fois, je dis « non ». Kingsbury mérite d’avoir participer aux Jeux olympiques et il méritait d’être sur le podium.

Dans le sport, comme dans les affaires et dans la vie, il est facile de se concentrer sur notre frustration à ne pas avoir atteint nos objectifs au lieu de considérer l’ensemble des étapes qui nous ont permis d’y parvenir.  

Trop souvent, notre instinct est de considérer qu’il s’agit d’un échec – un sentiment peut nous suivre pendant de nombreuses années. Qui nous démoralise, et peut même nous plonger dans une dépression.

D’après moi, pour avoir du succès – dans le sport, les affaires et la vie – ce qui compte, c’est l’effort et le courage que nous consacrons à la réalisation de nos objectifs, que ce soit une promotion, un client… une médaille d’or. Il nous faut admettre que nous avons fait tout ce que nous pouvions pour y arriver, même si nous n’y sommes pas parvenus… nous devons être fiers de nous pour avoir fait un effort que beaucoup n’auraient pas fait.

Chaque médaille, chaque travail, chaque promotion est une victoire. Ce n’est peut-être pas celle que vous aviez prévue, mais c’est quand même une victoire.

LEADERSHIP – LE PASSÉ ET LE PRESENT

Le leadership est complexe. Il s’agit de la capacité à inspirer des individus ou des équipes pour atteindre un certain objectif.  La manière de le faire a toutefois évolué. Pour de nombreux leaders de la vieille école, l’approche était stricte, autoritaire, militariste – le leader définissait les objectifs et donnait des instructions à ses collaborateurs pour les atteindre, en utilisant principalement la punition et le ridicule pour les « inspirer ». Cette approche ne se limitait pas aux forces armées, mais s’étendait aux entreprises, aux sportifs et même aux écoles.

D’après mon expérience, un leader est quelqu’un qui peut inspirer ses équipiers et les encourager à sortir de leur zone de confort… en les écoutant et en les respectant. L’ancienne approche, qui consistait à intimider et à humilier les personnes que vous essayez d’inspirer, est finie. J’ai été témoin de ce type d’approche du leadership dans le monde du sport, lorsque les athlètes et les équipes étaient humiliés et dégradés lorsqu’ils n’atteignaient pas leurs objectifs. 

Pour être efficace et respecté, le leader d’aujourd’hui doit être flexible dans son approche. Il doit comprendre que cette nouvelle génération parle et pense différemment, et qu’une approche adaptée est donc nécessaire. Pour être efficaces, les leaders d’aujourd’hui doivent adapter leur approche à la nouvelle façon de faire les choses, faire preuve d’ouverture d’esprit et accepter les contributions des personnes qu’ils essaient de guider. 

Être un leader maintenant exige un sens élevé de l’intelligence émotionnelle. Nos leaders doivent accepter que – pour inspirer les jeunes d’aujourd’hui – ils doivent s’adapter à la nouvelle façon de penser.

[Très] reconnaissant de partager mes conférences

Cette semaine, je suis vraiment très choyé, très privilégié, d’avoir partagé plusieurs conférences avec plusieurs institutions. 

Premièrement, avec la Commission scolaire Marguerite Bourgeoys, à Outremont. C’est une école pour adultes et aussi au secondaire. 

Ensuite, j’ai partagé une autre conférence avec l’université TÉLUQ. Cette institution offre des cours en ligne que moi-même j’ai pris! J’y ai fait un certificat en gestion durant le temps que j’étais athlète de haut niveau, donc ça a été très gratifiant de participer à cette conférence. 

Et aujourd’hui, je suis à l’école primaire Alphonse-Pesant, à Montréal, dans le quartier Saint-Léonard. En fait, c’est l’école où est allée ma femme quand elle était jeune ! J’ai eu la chance de présenter à une classe de primaire à deuxième année et, ensuite, une session pour les enfants de troisième à sixième année. 

Encore une fois, je me sens vraiment chanceux d’avoir toutes ces opportunités et je trouve ces opportunités très gratifiantes, me donnant la chance de partager mon expérience, que ce soit au niveau sportif ou au niveau en entrepreneuriat, aux jeunes, aux adultes, et aux entrepreneurs. 

#GoGetIt

« Il faut se fixer des buts avant de les atteindre »- Michael Jordan

Comme le dit le vieux dicton, il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Ce qui fait le succès d’un individu, c’est d’abord et avant tout d’avoir des objectifs clairs et précis ainsi qu’une démarche à suivre. Vous voulez un truc pour définir vos objectifs? Utilisez le mot SMART comme outil. Voici comment un objectif doit être formulé pour être efficace.

S pour Spécifique : il doit être le plus précis possible pour éviter l’ambiguïté.
M pour Mesurable : vous devez trouver une façon de quantifier l’objectif pour vous assurer de sa réussite.

A pour Atteignable : vous vous devez d’avoir les ressources nécessaires pour le réaliser et l’objectif doit être motivant et offrir un défi à relever.

R pour Réaliste : celui-là pour moi n’est pas réaliste! Tout bon entrepreneur qui se respecte ne l’est pas, donc laissez-vous aller.

T pour Temporel : vous devez vous définir une plage de temps, car sinon vos projets n’aboutissent pas et restent toujours en suspens.

Pour plus de conseil comme celui-ci, suivez-moi sur mes différents médias sociaux.

📷: Zahir Namane

Quel est votre style lors de cette mise en situation?

Vous êtes à la pêche avec un pêcheur d’expérience. Vous voyez que votre collègue n’arrête pas d’attraper des poissons et vous vous dites que vous êtes à côté de lui, dans le même territoire, et vous n’avez pas attrapé de poisson pendant des heures.

Son panier se remplit, il vous reste environ 2 heures de pêche et vous savez que vous allez retourner à la maison sans provisions.  

Que faites-vous?

• Type A : Vous demandez d’être coaché. Vous lui demandez comment il fait pour que vous puissiez appliquer sa technique.

• Type B : Vous lui demandez du poisson pour manger avec votre famille plus tard

.• Type C : Vous ne demandez pas de conseils, continuez à pêcher et retourner chez vous le panier vide.

Donc, ma question est : quel est votre type?

Cela va correspondre à quel genre de personnalité vous avez. Le type A demande d’être coaché. Vous êtes quelqu’un qui cherche à apprendre, à côtoyer des gens d’expérience  pour appliquer leurs conseils dans votre quotidien, ou, vous êtes de type B, quelqu’un qui pense que tout lui est dû, qui s’attend de recevoir des cadeaux, des passes gratuites sans essayer d’apprendre, ou, vous êtes de type C, quelqu’un qui ne demande jamais conseil, qui fait à sa tête.

Vous êtes une personne qui peut réussir, mais vous ne cherchez pas à acquérir de l’expérience et votre réussite prend beaucoup plus de temps.

Performer aux Jeux olympiques dans un stade sans spectateurs.

J’étais aux Jeux olympiques récemment et je veux vous parler plus spécifiquement des difficultés dont les athlètes olympiques ont dû faire face avant d’arriver à Tokyo. Comme tout le monde, ils ont été confrontés avec les défis relevant de la pandémie.

L’isolement et la distanciation ont fait que les athlètes ne pouvaient pas s’entraîner comme ils le voulaient ou devaient s’entraîner dans des endroits de base; beaucoup n’ont pas pu le faire du tout. Les Jeux olympiques ayant été retardés, je me retrouve un an plus tard à Tokyo et je ne pensais pas voir autant de bonnes performances, mais j’ai été agréablement surpris d’en voir autant comme celle de Damian Warner au décathlon et les femmes qui ont gagné la médaille d’or au soccer parmi tant d’autres.Lors de mes conférences depuis la COVID, je parle toujours de résilience.

Lorsque nous vivons un moment difficile, il faut avoir l’esprit ouvert et travailler encore plus fort pour atteindre nos objectifs. Il faut profiter de ce temps pour en apprendre davantage. Par exemple, nous vivons dans un monde de plus en plus numérique. Pendant la COVID, j’ai été cherché un cours universitaire en marketing numérique, un autre cours en négociation, et un cours en commerce de détail au HEC. Pourquoi? Pour être encore meilleur et me préparer à affronter ce moment difficile.

Je tiens à donner l’exemple d’André De Grasse. Il a dit à ma collègue de Radio- Canada, Diane Sauvé, que pendant la COVID, il en a profité pour travailler ses faiblesses. Ces faiblesses sont au niveau du départ. Avec moins de compétition et le fait de ne pas pouvoir s’entraîner comme il le voulait, il s’est dit qu’il allait en profiter pour corriger ses lacunes aux départs et quand viendrait le temps de compétitionner, il serait prêt. Donc, c’est ça que j’essaie de dire à tout le monde. Peu importe le domaine dans lequel vous êtes, que ce soit dans le sport, les affaires, les arts, etc., c’est dans ces moments-là qu’il faut essayer d’en apprendre davantage pour être meilleur. C’est exactement ce que André a fait. Il s’est dit qu’il profiterait du temps plus tranquille pour travailler sur ses faiblesses et sa performance à Tokyo a été vraiment incroyable! Meilleure performance au 100 m, une médaille d’or au 200 m et une médaille de bronze avec l’équipe de relais. Alors je persiste à dire que dans les moments difficiles, essayer toujours de voir la lumière au bout du tunnel.

Ne lâchez pas. Travaillez plus fort, gardez l’esprit ouvert et restez positif. Tout le monde peut le faire et je vous encourage et surtout, pas d’excuses! Comme le dit si bien mon coach d’affaires « no excuses! ». Bonne continuation, on va être encore plus fort!